Le Barça totalement humilié par Vinicius et ses coéquipiers, une leçon mémorable !

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Le Real Madrid a marqué l’histoire du football en 2024 en réalisant un exploit exceptionnel. Lequel qui met en évidence l’écart grandissant entre eux et leur rival historique, le Barça.

Sous la direction de Carlo Ancelotti, le Real Madrid a ridiculisé le Barça en une année civile. Avec un Vinicius Jr niveau ballon d’or et un Jude Bellingham totalement monstrueux, la Casa Blanca a commencé l’année en remportant la Supercoupe d’Espagne en janvier, un succès qui a posé les bases d’une saison exceptionnelle. Les Merengues ont ensuite déroulé avec une maîtrise impressionnante. En Liga, ils ont dominé leurs adversaires pour s’assurer le titre en devançant de loin, le FC Barcelone, qui n’a jamais réellement inquiété.

La Ligue des champions, autrefois surnommée « la compétition du Real », a été le théâtre d’une nouvelle épopée. Les Madrilènes de Carlo Ancelotti ont brillamment éliminé Manchester City et le Bayern Munich avant de triompher face au Borussia Dortmund lors d’une finale épique à Londres. La Supercoupe d’Europe, remportée à Varsovie contre l’Atalanta, et la Coupe Intercontinentale, glanée en décembre face à Pachuca, ont couronné cette année historique du meilleur club du monde.

Real Madrid

L’année exceptionnelle du Real Madrid et le contraste avec le Barça

Pendant que le Real Madrid récoltait les honneurs, le Barça vivait une année blanche. Depuis 2018, les Blaugranas n’ont remporté que cinq trophées majeurs : deux Ligas (2019, 2023), deux Supercoupes d’Espagne (2019, 2023) et une Copa del Rey (2021). Ces chiffres, modestes pour un club de cette envergure, sont totalement inquiétantes.

En comparaison, le Real Madrid a réussi à remporter ces mêmes cinq trophées en seulement douze mois. La différence est éloquente entre ces deux approches diamétralement opposées. Alors que le Real Madrid a su allier ambition et efficacité, le Barça, qui rencontre tous les problèmes du monde depuis le départ de Neymar semble s’être enlisé dans des choix stratégiques discutables. Entre fiasco pendant les mercatos avec plusieurs centaines de millions d’euros jetés par la fenêtre et l’échec des entraîneurs comme Enersto Valverde, Quique Setein, Ronald Koeman et Xavi Hernandez, le club Blaugrana se voit complètement ridiculisé par le Real Madrid en une seule année civile.

La domination durable des hommes de Carlo Ancelotti

L’année 2024 s’inscrit dans une tendance plus large. Depuis 2017, le Real Madrid a régulièrement empilé les titres et a consolidé son statut de référence mondiale. En dix ans, le club dirigé par Florentino Pérez a su maintenir une structure solide et attirer des joueurs de classe internationale, tout en renouvelant efficacement son équipe.

« Ça été une année historique pour notre club. 2024 a été une année pleine de titres, cinq en football et trois en basket-ball. Nous vivons l’une des étapes les plus victorieuses et les plus importantes de notre histoire, avec 57 titres au cours des 14 dernières années. Je veux souligner l’évolution de notre équipe féminine au cours de ces quatre années de Liga, étant finaliste de la Liga la saison dernière et quatre années consécutives en Ligue des champions. Nous continuons à contribuer à la croissance du football féminin dans ce pays », a déclaré Florentino Perez lors de son traditionnel discours de Noël.

Ancelotti et Florentino Perez

L’arrivée de stars comme Jude Bellingham et Kylian Mbappé a renforcé un collectif déjà impressionnant, complété par des cadres tels que Luka Modrić, Vinícius Jr ou encore Fédérico Valverde. Cette stratégie contraste avec celle de Barcelone, qui a parfois misé sur des recrues coûteuses mais peu rentables et a peiné à trouver une stabilité sportive. Cette année blanche doit servir d’électrochoc pour le FC Barcelone. Malgré une académie reconnue pour produire des talents comme Gavi ou Lamine Yamal, le club semble manquer de cohérence dans sa gestion et son recrutement.  Ce qui est sûr, le Real Madrid n’est pas fatigué de gagner et continuera par frustrer les Blaugranas.