Le Real Madrid, en quête de points pour se rapprocher du Barça au classement, a vécu une soirée frustrante à San Mamés, marquée par deux situations controversées de pénalty. Si ces décisions avaient été prises différemment, le match aurait pu prendre un tournant radical pour les hommes de Carlo Ancelotti.
Le Real Madrid est arrivé à San Mamés avec l’intention de décrocher trois points importants pour sa course au titre. Mais le club de la Casa Blanca n’a pas réussi à imposer son jeu face à un Athletic Bilbao qui a dominé le match. Les Madrilènes ont eu du mal à se créer des occasions, et l’attaque dirigée par Kylian Mbappé n’a pas été en mesure de perturber réellement la défense basque. En face, les locaux se sont montrés menaçants et ont fini par s’imposer 2-1 sur deux erreurs de Courtois et de Fede Valverde.
Deux penalties non sifflés, le Real Madrid crie au scandale
Le premier moment polĂ©mique est survenu après une action oĂą Kylian MbappĂ© a Ă©tĂ© pris en Ă©tau par deux dĂ©fenseurs de l’Athletic Bilbao. Après avoir Ă©tĂ© saisi, le Français est tombĂ© au sol et a rĂ©clamĂ© un pĂ©nalty. L’arbitre, Sánchez MartĂnez, n’a pas eu la mĂŞme lecture de la situation et a demandĂ© au joueur de se relever et de poursuivre la rencontre. Toutefois, bien que l’incident ait semblĂ© clair sur les images, l’arbitre a estimĂ© qu’il n’y avait pas de faute suffisante pour dĂ©signer le point de penalty. Cela a bien Ă©videmment suscitĂ© la frustration des joueurs du Real Madrid et des supporters, qui estimaient que l’action mĂ©ritait une sanction plus sĂ©vère.
Quelques minutes plus tard, une deuxième situation similaire est survenue. Après une action de contre-attaque oĂą Rodrygo a Ă©tĂ© dĂ©sĂ©quilibrĂ© par Gorosabel, le VAR est intervenu pour demander Ă l’arbitre de revoir la situation. Bien que l’examen de la vidĂ©o ait durĂ© plusieurs secondes, Sánchez MartĂnez a confirmĂ© sa dĂ©cision initiale et a jugĂ© que la faute n’était pas suffisante pour accorder un penalty. Ce second refus a profondĂ©ment agacĂ© certains joueurs madrilènes, qui sentaient que deux opportunitĂ©s Ă©taient passĂ©es sous silence.


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