“S’ils continuent comme ça…” : l’Espagne envoie un message clair à Mbappé et Vinicius

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La lourde défaite du Real Madrid face au Paris Saint-Germain (4-0) en demi-finale de la Coupe du Monde des Clubs continue de faire réagir en Espagne. Si tomber face à un PSG supérieur en 2025 n’a rien d’infamant sur le papier, c’est bien la manière qui suscite l’inquiétude — et la colère — du côté madrilène.

Sur les plateaux télé et dans les colonnes des journaux, le débat fait rage. Sur le plateau de El Chiringuito, Edu Aguirre a tenté d’apporter un regard plus mesuré, tout en mettant en lumière le vrai problème.

« C’est dur à dire 24 heures après un 0-4, mais je pense qu’il y a plus de positifs que de négatifs à retenir de ce Mondial, et je ne parle pas d’économie. Jusqu’au match contre le PSG, j’ai vu de bonnes choses : une équipe plus structurée, plus mobile, mieux préparée. »

Mais très vite, le chroniqueur a mis le doigt sur le nœud du problème : l’implication des stars offensives.

« Le problème a été détecté : les attaquants ne courent pas. Si Luis Enrique a réussi à transformer Dembélé, autrefois l’un des plus fainéants au Barça, en un joueur prêt à mourir sur le terrain, pourquoi Xabi Alonso ne pourrait pas en faire autant avec Vinicius et Mbappé ? »

Une déclaration qui résume bien le malaise madrilène : un déséquilibre flagrant entre talent individuel et implication collective.

Edu Aguirre l’assure, les choses vont changer très vite :

« À partir du mois d’août, Xabi Alonso ne va plus se mordre la langue », a-t-il conclu, soutenu par le présentateur Josep Pedrerol.

Un avertissement clair. Le temps des états de grâce est révolu. Place à l’autorité.

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La claque infligée par le Paris Saint-Germain (4-0) au Real Madrid en demi-finale de la Coupe du Monde des Clubs continue d’enflammer l’Espagne. Si tomber face à un PSG plus rodé et dominateur en 2025 n’a rien de honteux, c’est la manière qui interroge — voire indigne — du côté madrilène.

Sur les plateaux télé, la défaite a mis le feu aux poudres. Dans El Chiringuito, Edu Aguirre a tenté de tempérer les critiques contre Xabi Alonso, tout en soulignant les manquements criants du collectif.

« C’est dur à dire 24 heures après un 0-4, mais je pense qu’il y a plus de positifs que de négatifs à retenir du Mondial. J’ai vu un Real Madrid avec de bons mouvements, une meilleure organisation tactique… J’ai aimé ce que j’ai vu, jusqu’au PSG », a-t-il analysé.

Mais le constat est sans appel :

« Le problème a été détecté. Les attaquants ne courent pas. C’est simple. Si Luis Enrique a réussi à transformer Ousmane Dembélé, qui était l’un des plus fainéants au Barça, en un guerrier, alors pourquoi Xabi Alonso ne pourrait-il pas faire pareil avec Mbappé et Vinicius ? »

Un avertissement direct aux deux stars offensives, jugées trop passives dans l’effort collectif. Aguirre prévient :

« À partir du mois d’août, Xabi Alonso ne va plus se mordre la langue. »

Josep Pedrerol, présentateur emblématique de l’émission, a enfoncé le clou.

« On attendait la réaction des joueurs sous Xabi Alonso, on voulait voir sa patte, une équipe qui ne marche pas sur le terrain. Je suis certain que Xabi a compris : il va devoir pointer du doigt ceux qui ne défendent pas l’écusson du Real. »

Et de conclure, sans ambiguïté :

« Les fans sont agacés. S’ils continuent à marcher, le Bernabéu grondera — et fort. Les starlettes, c’est non. »

Mbappé et Vinicius sont prévenus. Le Real Madrid ne pardonne ni les humiliations… ni les efforts en option.