Alors que la prestation de Ricardo De Burgos Bengoechea et de son assistant VAR, Gonzalo Fuertes, lors de la finale de la Copa del Rey, fait bondir, Carlo Ancelotti, qui habituellement peste quand son équipe est défavorisée, a surpris.
Ils étaient au cœur d’une grosse polémique avant la finale de la Copa del Rey en raison de leurs déclarations devant la presse. Aux commandes de la grosse affiche entre le Barça et le Real Madrid samedi soir, Ricardo De Burgos Bengoechea et Gonzalo Fuertes ont livré une prestation remarquable. Sans doute sous pression après les revendications du Real Madrid, les officiels de la partie ont été très cléments avec l’équipe de Carlo Ancelotti.
D’un potentiel carton rouge oublié pour Aurélien Tchouaméni à trois actions litigieuses dans la surface de réparation qui pouvaient être sifflées contre Rüdiger, Valverde et même Raúl Asencio, l’arbitre central a fait beaucoup pour être moins chargé par les Madrilènes. Malgré tout, Antonio Rüdiger et certains se sont distingués par de vives protestations contre l’arbitre central, ce qui a débouché sur trois cartons rouges en fin de partie. Noté (2) par Archivo VAR en raison de ces faits de jeu défavorables aux Catalans, De Burgos Bengoechea a été épargné par Carlo Ancelotti.
Alors qu’il ne manque jamais l’occasion de tirer sur les arbitres, l’entraîneur madrilène, n’ayant donc pas assez de choses à reprocher aux arbitres, a préféré botter en touche la question sur l’arbitrage. « Je ne veux pas parler de l’arbitre, » a murmuré Ancelotti quand il a été questionné sur le sujet.
Il s’agit d’un aveu de taille du coach de 65 ans. S’il n’en parle pas, c’est parce que la défaite du Real Madrid n’a pas été de la faute des arbitres. S’ils devaient se montrer assez sévères comme plusieurs le craignaient après leurs déclarations d’avant-match, De Burgos et Fuertes se sont montrés très cléments avec les Madrilènes.
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